L'arrivée en ville.

En ville,un jeune homme venait d'arriver.son apparence extérieur,quoique à priori guére impressionante,était néammoins le signe d'un calme et une sagesse extraordinaire.Il sembalit marcher,infiférent à la foule qui le jetait des regards intrigués,et craintifs.sa rennomé n'tait plus à faire,c'était un grand mage,connu pour ses divers haut faits.Néammoins,contrairement à son habitude,il ne semblait faire attention à a foule qui l'entourait,e laissant porter par le courant humain,plongé dans la lecture d'un livre apparement incompréhensible,dans lequel il réalisait de temps en temps de petites annotations.Il était sur le point de percer le secret de ces lignes,il le sentait.Bientôt,une nouvelle forme de magie,inédite,s'offrirait à lui,et son ambition ne connaîtrait plus de limites.Il se présenterait à la cour du prince,et obtiendrait un poste élevé.De plus,celui-ci était à ce qu'on disait une personne inteligente ,et il ne serait que profitabe pour le jeune homme de e compter parmi ses relations.Oui,il grimperait au sommet!

S'apercevant soudainement qu'il n'était plus porté par la marée humaine,il s'avisa qu'il était au centre d'une large place dallée.une fonataine finement sculptée crachait de fins jets d'eau en son centre,et ce lieu respirait le calme et la paix.Se tirant de sa réverie,il alla s'enquérir de la localisation de l'auberge la plus proche aupré d'un passant,et se dirigea vers celle-ci aprés avoir obtenu son renseignement.l'aubergiste,observant de son oeil exercé les riches habits et le baton finement travaillé du magicien,s'approcha de lui,et ui demanda d'une voix grave:

-Bienvenue,messire,à l'auberge du couchant,souhaitez vous une chambre?

Le mage,levant un sourcil réprobateur à cette question qu'il jugeait stupide,répondit simplement:

-Oui,pourquoi serais-je ici,sinon?Ta meilleure suite,immédiatement.

L'aubergiste ne releva pas le ton désaprobateur et l'air méprisant du jeune homme,sachant qu'il ne fallait pas embéter le client,et encore moins quand celui-ci respirait la puissance à plein nez.Il répondit simplement,en se fendant d'une courbette et d'un sourire hypocrite:

-Messire,tout de suite.Votre chambre sera prête dans une heure,et il vous en coutera 50 piéces.souhaitez vous que je fasse porter vos bagages dans cette chambre?

Le jeune homme déposa la somme dans la grose main poisseuse du tenancier,en prenant garde à éviter tout contact.puis,ne jugeant pas utile de répondre à la question du bonhomme,il sortit de l'établissment as dire un mot supplémentaire.Il vint se placer sur un banc prés de la fontaine qu'il avait vu précedemment,et sortit son livre et son cahier.Une fois qu'il aurait traduit le bouquin,il aurait accés à la puissance des arcanes perdues.Comme le lui avait dis la voix,aprés qu'il eut russi l'épreuve des ruines.A la simple pensée de cet évenement désagréable,son corps entier frissonna d'effroi.cela avait été dur au dela de tous ce qu'il connaissait,mais le eu en valait la chandelle.plongé dans son étude,il ne remarqua pas la présence de quelqu'un qui l'observait...

Ce Jour là Méluzine était de très bonne humeur. Elle revenait de la foire où elle et Niklass avaient fait leur numéro de charme et avait, bien sûr, été grandement applaudit. Maintenant, elle ce promenait sur la place quand elle sentit son boa descendre de sur elle. Elle le suivit donc des yeux et le vit ce rendre jusqu’a un banc où ce trouvait un homme.

«Niklass, non! Laisse le monsieur tranquille.»

Dit-elle à l’intention de son serpent avant de s’avancer vers l’homme.

«Pardonnez-le, il n’aime pas les étrangés.»

Ajouta-t-elle en tendant le bras pour que le reptile revienne sur elle.

«Bonjour Monsieur, à l’apparence que vous avez, vous n’êtes visiblement pas d’ici. Puis-je savoir ce qui nous vos l’honneur de votre présence en ces lieux?»

Avait-elle demandé en l’observant attentivement.

Tiré de sa lectur par l'arrivé de l'animal,le jeun mage ne se sentait pas de bonne humeur.Une phrase échappait toujours à sa compréhension,dans ce livre aux écritures incompréhensibles!Frustré de ses échecs,le jeune homme trouva un exutoire en les personnes de son interlocutrice,à qui il jeta un regard noir,avant de lacher une phrase prononcée sur un ton méprisant,assorti d'un air dédaigneux:

Je voyage pour m'instruire,et votre village n'et qu'une étape.quand à votre serpent,la prochaine fois qu'il m'approche d'aussi prs,j'en fais de la charpie...stupide animal...

replongeant les yeux dans son grimoire,Oliver plissa le front.Il savait que la phrase itraductible parlait d'énergie et de circulation,mais comment en com^rendre le sens exacte?Malgré son érudition plus que respectable,il n'aimait pas les langues mortes.Encore mins les langues mortes non-répertoriées...cette écriture était du type idéogramme,ce qui la rendait encore une fois plus compliquée à traduire.le jeune homme,furieux,ferma le livre,décidé à se changer les idées,et s'avisaplus précisement de la jeune facheuse.Elle était étrange,et la ressemblance avec une bête mythique dont il avait oublié le nom était flagrante.Non pas qu'elle soit laide,mais elle était troublante,ncore une erreur de la nature...néammoins,l'avoir dans ses amis serait une bonne chose.Utilisant ses dons de transformation pour e faire rougir,le jeune homme s'excusa platement:

excusez mon comportement,jeune dame.J'ais quelques soucis en ce moment et je suis plutôt fatigué.Y-a t'il quelque chose que je puis faire pour me faire pardonner?


[Je m'excuse d'avoir éditer.... mais je n'étais pas capable de lire le texte en vert donc je l'ai mit en bleu]

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Sévérinne Claps
38 ans
Mère de Cybille Claps

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Une dame avec de grande oreille de lapin arriva près de Méluzine et de Olivier...

-Oh excusez moi d'interrompre votre discussion mais j'ai quelque chose à demandé à mademoiselle... Méluzine, est-ce que tu pourrais garder Cybille jeudi prochain elle revient du clan des Pékans aujourd'hui avec son père, mais on doit partir au clan des Bernaches ensuite il faut allé voir madame Willowflore... est-ce que tu peux?... si non je demandrai à Jeanne.

Elle regarda l'homme qu'elle ne connaissait pas du tout... et qui ne semblait pas du tout être du coin

Elle croisa les bras sur sa poitrine avec un aire dure dans le visage.

«Ne vous avisez jamais de toucher à mon serpent, monsieur, car ces vous qui le regretteriez!»

Siffla-t-elle, avant de ce tourner vers mme Claps. Immédiatement son sourire revins en voyant cette femme, qui, avec les années était devenu une de ces bonnes amie.

«Oh mais bien certainement ma cher Sévérinne, que je veux bien garder Cybille. C’est Niklass qui sera heureux de la voir!»

Dit-elle en passant un doigt sur la tête de son boa qui était maintenant lové confortablement dans son cou.

«En plus mélina sera pas au casse croûte de la foire, c’est son jour de congé. Quand je lui dirai ça, elle va bien vouloir lui faire toute sorte de patisseries!»

Ajouta-elle en riant. Puis elle tourna un oeuil vers Oliver lorsqu’il s’excusa.

«Oui vous pouvez faire quelque chose pour vous excuser. tout d’abord ne plus jamais menacer de détruire qui ou quoi que ce sois devant moi, d’être polie en mon endroit et me donner votre identité, cher monsieur.»

Thamara arriva en ville. Elle regarda partout et ne vit pas Yoan et son petit groupe. Elle ne les avait pas trouvé non plus dans le petit bois en descendant le plateau. Elle vit trois personnes qui discutaient à l'entrée de l'auberge. Une avait des oreilles de lapin, l'autre des serpents sur la tête et l'autre était un homme avec une grande cape. Décidemment, cet homme n'était pas du coins!... Ce petit groupe attira son attention et Thamara décida de devenir invisible, puis s'approcha du groupe furtivement.

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Sévérinne Claps
38 ans
Mère de Cybille Claps

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-Merci ma chère Mélu, vous êtes un ange... disons que le clan des Bernaches est loin et je me demandais à qui j'allais demander... et je suis certaine que Cybille sera très heureuse de voir mélina... Elle revient en soiré de Duvut de la montagne des Pékans avec son père. Je te l'enverrai jeudi....

Elle n'aimait pas beaucoup l'homme qui était là mais bon elle savait que Méluzine était là... Puis soudainement elle entendit quelque un bruit presque imperseptible venant de la droite...

-Mélu, Euhhhh il y a quelqu'un là bas.

Lorsque Thamara entendie Sévérinne, elle faillie rire. Puis, elle se dit que c'était le temps pour une bonne farce.

Soudain, le grimoire du mage s'envola dans les airs sans que celui-ci ne puisse le rattrapper du à la surprise. Il vola comme un oiseau autour du trio en croassant comme une corneille, puis autour de la fontaine et revint se poser sur l'épaule du mage qui allait essayer de le rattraper.

Puis, Sévérinne pue entendre une jeune fille rire espièglement dans sa tête.

[Thamara,tu seras gentille de respecter l'ordre de postage,merci.]

Oliver leva un sourcil énervé.Un ou une imbécile utilisait ses pouvoirs à tort et à travers.Il se leva lentement replaçant d'un geste rapide le grimoire,qui alla directement de son épaule à sa sacoche.Il localisa la position de la jeune fille.Grace à une question d'augure simple."Si j'envoie une vague électrique dans cette direction,toucheras t'elle le mage invisible?" La réponse fut oui.Oliver sourit,et,plantant son baton dans le sol d'une main,indiqua la position de la damoiselle de l'autre,pendant qu'il disait simplement:

Vague électrique.Faible puissance.

Il voulait juste lui donner une bonne leçon.L'attaque lui roussirait le poil,mais ne causerait pas de blessures sérieuses.De plus,il savait que cela prendrait la damoiselle de court,puisque l'augure lui avait certifié qu'elle serait touché par l'attaque.L'onde dechoc s'avançait à une vitesse folle vers la damoiselle,mais Oliver ne s'ensouciait deja plus.Les nuisances se devaient d'être éloignées rapidement.
Il se replaça vers Méluzine tentant de se rappeller ce qu'elle lui avait dit.De ne plus menacer son serpent,et de lui donner son nom.Bref,des banalitées sans grand interêt.Il répondit pourtant sur un ton enjoué:

Et bien,je m'appelle Oliver Baxter.Je ne toucherais plus à votre serpent,c'est promis.

Il se gratta sa barbe naissante.Cela faisait bien 5 jours qu'il ne s'était pas rasé.Il s'en occuperait dés ce soir,quand il serait seul dans sa chambre.Pour l'heure,il était temps d'étudier.Il ressortit son livre.Il brulait,il le savait.Il fallait trouver un moyen de déchiffrer tout cela.Un codex spiralé,comme l'hagigraphie d'Uru?Peut-être.Mais ces étranges motifs en bordures des pages lui rappelaient quelque chose.Il eut soudain ce qu'il tenait pour sa meilleure idée du jour,et demanda à son interlocutrice:

Sauriez vous,où je pourrais trouver un expert en langue morte dans cette ville?Je vous assure que c'est urgent.S'il vous plait,répondez moi...

Il regardait la petite troupe avec un air suppliant.Il voulait vraiment traduire ce livre.Tous ces espoirs d'ascencion étaient contenus dedans!Il attendit une réponse, intérieurement pour quelqu'un puisse et veuille lui donner sa réponse...

Thamara souriait... sa blague avait eu de l'effet.

Par contre, l'homme à la cape ne semblait pas avoir aimé puisqu'il planta son bâton dans la terre et une vague électrique alla droit dans sa direction. Heureusement, Thamara avait de bons réflexes et elle pu éviter assez aisément de se prendre une bonne décharge! Décidément, cet homme n'avait aucun sens de l'humour.

Thamara se demanda: Qu'est-ce que ce livre peut contenir de ci précieux pour qu'un homme agisse ainsi parce qu'on a "touché" à son livre.

Ainsi, toujours invisible, Thamara alla se placer discrètement derrière l'homme pour voir ce que pouvais contenir ce livre et ce mit à la lecture...

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Sévérinne Claps
38 ans
Mère de Cybille Claps

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Sévérine sourit... elle trouvait cela bien drôle... et de plus elle se doutait un peu qui pouvait faire de ses blagues un peu disons-le de mauvais goût, selon elle... Il s'agissait sûrement de la fille de Yoan Delmar... elle était toujours en train de faire des blagues...

Ensuite l'homme posa une question.... Sévérinne regarda Méluzine un peu perplexe...

-Euhh dans le village... est-ce qu'on a vraiment ça un expert en écriture ancienne.... faite moi voir de quoi vous parlez... Je sais que l'empereur doit en connaître un bout sur les écritures encienne malgré son jeune âge... mais dans le clan est ce qu'il y a quelqu'un.... Je ne suis pas certaine...

Elle avança vers l'homme pour regarder le style d'écriture de son bouquin. C'est à ce moment ce moment qu'elle entendit un déplacement d'air que seul ses oreilles de lapins pouvait entendre. Elle était certaine que le joueur de tour était en arrière de l'homme... Elle alla donc directement vers l'homme comme si elle ne savait pas que la demoiselle était là elle prit la place de Thamara... (ou elle lui fonce dessus si elle ne se tasse pas)

-Voyons voir quel est ce type d'écriture? Où avez vous trouvé ce bouquin?

Thamara ne pouvait voir les pages du livre correctement, alors elle allait s'approcher davantage. Cependant, elle ne se rendit pas compte que la femme aux oreilles de lapins arrivait exactement là où elle se dirigeait et elle fonça sur elle.

- Oups...

Thamara se sentie plutôt gênée et embarassée. Elle s'adressa à la femme aux oreilles de lapins, toujours invisible (son coeur battait encore sur l'effet de la surprise).

- Bonjour, je m'appelle Thamara Delmar...

Elle sourit à Sévérinne, puis tourna la tête dans la direction que cette dernière lui pointa, mais ne vit rien. Par contre, il y avait réellement quelqu’un car Niklass s’agita et parti dans la direction ou était l’intrus.

«Vous avez raison ma cher amie. re...»

Puis voila que le livre de l’homme devant elle s’envola en croissant. Impassible, les bras toujours croisés sur sa poitrine, elle le suivi des yeux et regarda la réaction du mage. Et, visiblement, l’homme n’appréciait pas du tout les petites blagues inofencives, ce qui la fit ce renfrogner d’avantage.

«Et bien cher Oliver, je suis contente que vous me promettiez de ne plus toucher à mon serpent, mais j’apprécirais également que vous n’attaquiez pas les gens de la sorte pour une pacotille. Pour ce qui est de votre question, comme vient de dire cette chère Sévérine, je ne pence pas connaître personne qui connaisse les langues anciennes. Par contre si vous allez chez les bernaches ou les pékans peut-être qu’eux pourront vous aider.»

Puis enfin elle entendit parler le personnage mistère qui taquinait l’homme et ce mit à rire.

«Bien sûr! Tamara veux-tu bien nous apparaître, mon espèce de farceuse, va!»

Oliver sourit méchamment.Blagues innofensives?Ce livre était une des reliques les plus précieuses du royaume,sinon la plus précieuse.Il contenait un savoir plusieurs fois millénaire,et ces deux garces jouaient avec comme si de rien n'était.Oliver fulminait,et son visage commençait à refléter ses pensées.Etripage,démembrage,meurtre...Mais il se ressaisit rapidement,et se dit que ce n'était pas le bon moment pour provoquer une rixe entre mage.Non pas qu'il n'aurait pas l'avantage,il avait deja combattu des adversaires autrement plus redoutables qu'une gamine à la cervelle atrophiée et qu'une dame aux cheveux verts gluants.Il se frotta le menton d'un air pensif,en apprenant le nom de la jeune damoiselle.Encore une qui n'avait pas été assez giflée par ses parents.Pour l'instant,il était temps de concéder du terrain à ses trois interlocutrices.Il n'avait pas besoin de ses faire des ennemis dés son arrivée en ville,et se promit ibtérieurement de rester calme et courtois envers ces deux damoiselles.Il prit la parole,sans cesser de se frotter se barbe de cinq jours:

Bien,je vais encore une fois m'excuser platement.Mais je suis exténué,et les blagues de cet enfant ne m'amusent pas.Toucher aux possessions d'autrui sans son accord et risquer de les endommager,et,je vous le rappelle,un crime passible d'emprissonement.Nous ne souhaitons pas voir cette enfant derriére les bareaux,bien sur.

Souriant intérieurement,il espérait que le message était passé.Il continua sa phrase,arettant subitement de se gratter le menton.

Au fait,je loue mes services de mage itinérant.Pourriez vous m'indiquer la guilde d'informateurs la plus proche?

Il avait besoin d'argent pour payer ses frais de déplacement,et accomplir diverses taches était toujours un grand plaisir,quand celle ci lui permettaient d'affiner ses divers talents.Il attendit encore une fois patiemment la réponse d'une de ses trois interlocutrices,priant pour ne pas tuer quelqu'un si la prochaine blague était trop pénible...

Thamara regardait toujours dans la direction de la femme aux oreilles de lapins, puis la femme aux cheveux de serpents lui répondit.

- Oups!...

Thamara parla pour elle même et venait de prendre conscience qu'elle était toujours invisible. Elle prononça quelques paroles et redevint visible pour ses interlocuteurs. Elle se retourna vers la femme aux cheveux de serpents et évita soigneusement de croiser le regard du mage:

- Bonjour, je... je... je cherchais mon père... est-ce que vous l'auriez apperçu par hasard? Il était en voyage d'étude avec son groupe.

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Sévérinne Claps
38 ans
Mère de feue Cybille Claps

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- J'avoue, Méluzine, les bernaches ou les pékans connaisse peut-être cela... mais vous savez très bien que les bernache utilise toujours des termes incompréhensibles et que les Pékan.... bien...en fait on ne sait pas grand chose des Pékan... ils sont toujours muet comme des tombes quand on les intérogent.

Puis elle entendit ce que Olivier dit sur la peine d'emprisonnement. Elle failli s'étouffé de rire.

-Elle est bien bonne... ici au clan des Ornythorinque... il n'y a pas de prison.... de plus si je me souviens bien... et cela Thamara pourra dire ci c'est vrai.... Mais l'autre jours je parlais avec sa mère... et je me souviens plus si c'est elle ou son mari, mais un des deux a un lien de parenté avec l'empereur... et ouff! vous connaissez l'empereur... il aime sa famille... donc je ne sais pas si vous allez voir l'empereur avec votre demande et qu'il apprend que vous avez fait emprisonné quelqu'un de sa parenté...en fait je ne crois pas qu'il sera prèt à vous aider... mais c'est vous qui voyez à vos choses.

Elle posa une pose... et réfléchit à la question...de Olivier au moment où Thamara apparue

-Je te laisse répondre Méluzine c'est toi qui connait le clan par coeur... tu étais après tous le fille du chef du clan... et c'est sûrment toi qui deviendra la chèf... et pour ta question Thamara... moi je ne l'ai pas vu ton père depuis qu'on c'est parlé l'autre jours...

Elle avait bien vue l’aire mécontant de l’étrangé devant elle. puis lorsqu’il parla de faire punir Thamara pour la petite blague qu’elle avait fait, elle ce mit à rire de bon coeur elle aussi.

«Sévérine à raison, nous n’emprisonnons personne ici. Nous ne faisont que chasser les membre du clan lorsqu’ils se comportent mal, et Thamara, à mes yeux n’a rien fait de tel. Et ma cher amie, je suis tout à fait d’accord avec toi, les bernache sont difficile à comprendre mais ils en connaissent énormément sur tout, y comprit les langues ancienne. Mais je suis d’accord avec toi que les péquand ne lui sera pas d’une grande utilitée.»

Puis ce tournant vers Thamara elle réfléchi un moment et dit :

«J’ai vue ton père et son petit groupe partir vers les bois de santory. Il parlais de les travercer pour étudier les herbe autour du lac cirèny de l’autre côté. Je ne crois pas qu’il va revenir avant ce soir.»

Puis revenant à Oliver, elle réfléchi à ça question et finit par répondre :

«Et bien mon cher monsieur vous pouvez toujours allez voir Damme Mistérika Féliny et son mari à l’antrée de la forêt Scaraver, mais faite bien attention ce sont d’excellant mage mais ils sont comment pourais-je dire? pas très comode et on un méchant caractaire. Vous n’aurez par contre pas trop de difficulté à les trouver. Dame Féliny est toujours à l’extérieur à ce prélacer au soleil. Elle à des yeux et des oreils de chat et la peau moustaché comme les léopard.»

Oliver aretta d'u coup de se frotter son menton barbu,ravi à l'idée d'avoir trouvé quelqu'un d'interessant à aller voir.peut-être aurait-il la joie d'en apprendre plus sur ce mystérieux livre.En revanche,le fait qu'elle traitent une relique dont la premiére page avait assez de valeurs pour acheter la ville entiére comme un bout de chiffon usagé le mettait en rogne.il se leva,et se dirigea sans mot dire vers l'auberge où il avait rservé une suit,perdu dans ses pensées.Dame Mystériki? avec un nom comme ça,il n'urait pas de mal à la retrouver.et bientôt,l'ultime puissance s'offrirait à lui.Il irait voir l'empereur.Ce dernier le nommerait chef de son clan.et enfin,il aurait une vie riche et oisiv,qu'il consacrerait intégralement à la recherche et à l'apropriation de la sainte trinité: puissance,argent et savoir! Ces trois idéaux ne lui avaient jamais semblés aussi proches,et les yeux du jeune mage brillaient d'un éclat cupide,n'augurant rien de bon pour les misérables vermines qui se dresseraient sur son chemin.Peu à pu,il commençait à laisser reparler ses penchants obscurs,qu'il avait si longtemps occultés.

tout à ses pensées,il ne s'aperçut qu'une présence hélas familiére lui collait encore aux pas...il continuait toujours son chemin,se laissant dériver lentement dans le songe brumeux qui caractérisait si bien le bouillonement chaotique de ses pensées quand il était désoeuvré.Arrivé devant l'auberge,il poussa la porte richement décoré de celle-ci,et s'apretta à monter directement dans sa chambre,quand la voix qui appartenait à la présence qu'il avait sentie inconsciemment sur le chemin du retour s'éleva de maniére impromptue


[désolé d'avoir fait court,mais j'ais pas dinspiration,en ce moment... ]

Sévérine Clap (mère de Cybille Clap):

Sévérine était heureuse de voir cet homme s,éloigner d'elles.

"Tout un spécimen, ce monsieur", dit-elle.

"Merci beaucoup, Méluzine de bien vouloir garder Cybille. C'est très généreux de ta part. Mon époux et moi ne seront pas parti bien longtemps."

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Arnold Clap (père de Cybille Clap, marchand):

Soudain, des hurlements de douleur surgirent en même temps qu'une carriole en trombe. Arnold n'en pouvait plus, il était sédoeuvré.

"OOOOOOOOOOOO! OOOOOOOOOOOOOOOOO! Oh, les Dieux sont contre nous! OOOOOOOOOOOOOOOOOOO!"

Voyant sa femme et Méluzine sur la place, il se jeta en bas de la carriole que la mule traîna jusqu'à la fontaine. Elle ruait, s'ébrouait, but, secouée de tiques dû à la détresse de son maître.

Sévérine:

Alarmée, Sévérine se précipita sur son époux, caressant sa peau écailleuse de lézard.

"Arnold, que se passe-t-il? Où est Cybille? Lui est-il arrivé quelque chose?"

"OOOOOOOOOOOOO!!! OOOOOOOOOOOOOOO le malneur s'acharne sur nous. Les Pékans. C'est un endroit maudit. Ils ont..... OOOOOOOOOOO!"

Arnold ne pouvait rien dire. Il restait à se lamenter et à geindre, affalé par terre. Alors, Sévérine se rendit sur la carriole et, en découvrant son enfant, poussa un hurlement d'horreur.

"AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHH NNNNOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO
OOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN YYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYBBBBBBBBBBBBBBBBBIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIILLLLLLL LLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE!!!!! NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!"

La femme, dont la fille avait hérité des oreilles de lapins, prit le petit corps dans ses bras et bondit hors de la carriole avant que la mulle affolée ne se précipite dans une direction aléatoire, bousculant tout sur son passage et renversant quelques badeaux allertés par les cris de douleur et de terreur.

Secouée de larmes, Sévérine serrait son enfant près d'elle, la couvrant de baiser désespéré.

"Mon enfant... mon enfant... il faut sauver mon enfant... ce n'est pas possible, non... mon enfant."

Thamara était heureuse de savoir où elle pouvait retrouvée son père. En plus, le mage s'en allait enfin, ayant eu l'information qu'il attendait.

Bon débarras... pensa t-elle

Thamara allait se préparer à quitter la femme aux oreilles de lapin et la femme aux cheveux de serpents, lorsqu'une carriole arriva en trombe. Elle allait saluer les deux femmes, mais des hurlements furent pousser de l'homme dans la carriole et Thamara resta silencieuse. Elle vit l'homme sauter en bas de la carriole et la mule se ruer sur la fontaine.

Thamara utilisea son pouvoir de télékinésie pour guider les reines de la mule et ils firent un noeud autour du banc près de la fontaine (Thamara voulait s'assurer que la mule ne se sauve pas). Aussi, Thamara utilisea son pouvoir de télépathie pour calmer la mule: ça va, ça va, calme-toi ma belle. Puis, Thamara se dirigea vers l'homme du nom d'Arnold.

- Monsieur, que se passe t-il? Qu'arrive t-il à votre enfant? Peut-être pourrais-je vous aider?...

Thamara était secouée de tremblement, elle commençait à réaliser le drame qui se déroulait devant elle. C'était beaucoup pour une enfant, certes bientôt une femme, mais encore une enfant dans son coeur.

Arnold Clap

"Ma fille..... ma fille..... morte, chez eux... malheur! OOOOOOOO!" gémissait M. Clap.

La mulle était belle et bien partie lorsque Sévérine avait crié. Sa course effraînée de la montagne des Pékans jusqu'au village l'avait mise à bout ainsi que les hurlements d'Arnold tout le chemin durant, plus l'état d'hystérie dans lequel elle était lui avait donné la force de briser ses reines. Elle s'était sauvée droit à l'écurie et, après multe dégats à travers la ville, avait réussit à se débarasser de la carriole qui gisait, en plusieurs pièce sur son chemin. Sitôt, les villageois s'empressèrent de ramasser les effets des Claps, les rassemblant devant leur maison.

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Sévérine Clap:

Sévérine pleurait et gémissait. Elle tenait le corps inerte de son seul enfant dans ses bras. Quelque chose s'était brisé en elle et plus jamais elle ne s'en remettrait. Dans ses bras, sous ses yeux, Cybille devenait de plus en plus mauve, comme si la magie qui l'avait tuée sortait d'elle petit à petit. Celle-ci s'échappa en un nuage de vapeur qui les entoura toute les deux puis parti, s'élevant au ciel et formant un nuage vaporeux au-dessus de la ville. Une fois l'énergie mauve envolée au ciel, Cybille reprit son apparence normale, inerte, froide et éteinte à jamais.

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Arnold Clap:

"OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO! Ma pauvre enfant, le village... Duvut est maudit! La Mort Mauve est revenue. Il faut s'éloigner d'eux..."

Thamara vit la vie quitter le corps de la petite et fut secouée de tremblement dans tout son corps. Rien ne pouvait y faire, elle tremblait, elle tremblait...

Elle aurait pu aider cette enfant, mais il était maintenant trop tard. Toute joie de vivre quitta Thamara. Elle approcha la mère de l'enfant qui pleurait à chaude larmes et lui mit une mains sur l'épaule pour la consoler. Puis, elle se mit elle-même à pleurer en voyant la pâleur du petit corps inerte de la jeune fille.

Soudain, Thamara pensa:

Il me semble que ma mère ou mon père m'aient déjà parler que l'empereur avait déjà résucité quelqu'un?... Aurait-il se pouvoir?

Thamara pensa vite. Elle se retourna vers Arnold:

Écoutez, je dois aller voir ma maman chez moi à quelques minutes d'ici. Je dois lui poser une question. Attendez moi et je reviens immédiatement. C'est très important.

Résidence des Delmar

Thamara arriva au village à la course. Elle était épuisée et à bout de souffle. Elle alla retrouvé Sévérine et Arnold. Puis, lorsqu'elle les vit, elle cria:

- Il y a encore de l'espoir, ne pleuré plus, il y a encore de l'espoir!!!

Puis, lorsqu'elle les eu rejoins, elle leurs explica:

- L'empereur possède le pouvoir de redonner la vie. Il suffi de le rejoindre à Umable où il a son palais et il vous aidera, j'en suis certaine. Jamais mon oncle ne laisserait tomber quelqu'un de bien lui demandant de l'aide. Allez, allons-y!

Thamara utilisea les dernières forces qui lui restaient et elle marmona des paroles étranges. Elle joignit ensuite ses mains ensemble de façon à former un triangle et elle monta ses mains vis-à-vis son front. Elle ferma les yeux, se concentra, puis un vortex s'ouvrit devant le petit groupe. C'était un trou de lumière violet-bleuté qui tourbillonait.

- Allez, venez vite! N'ayez pas peur.

Arnold Claps:

Arnold savait qu'il y avait rien à faire. Cybille était morte tôt le matin, chez les MirrorGold, de la Mort Mauve. Le sortilège le plus affreux qui soit.

Néanmoins, il fut touché par la volonté de Thamara et dit, plus calme, lui abaissant la main pour qu'elle cesse son sortilège:

"Ne dépense pas tes énergies pour rien, petite. Cybille a été touchée par la Mort Mauve, un sortilège terrible que l'on ne peut ni éviter, ni annuler. Cybille est morte, c'est tout, il n'y a rien à faire contre ça. Même l'empereur n'y pourra rien, même les Dieux n'y peuvent rien. Il nous faut être courageux et faire face."

Arnold se pencha et souleva sa femme effondrée qui tenait le corps de leur enfant.

"Que quelqu'un avertisse les Prêtresses. nous n'avons plus beaucoup de temps avant la tombée du jour et le rituel doit être fait avant la nuit tombée où l'âme de Cybille ne pourra jamais rejoindre les Dieux."

Arnold entraîna Sévérine chez lui afin de préparer le corps pour le rituel mortuaire.

Prêtresse Dinary:

• 62 ans
  
• Fourrure de raton laveur
  
• Six doigts à chaque mains et pieds
  

La Grande Prêtresse Dinary, alertée par la rumeur de mort se présenta sur la place centrale, son bâton de marche à la main et un panier d'herbe au bras. Elle vit Thamara et Méluzine et les salua poliement, d'un geste de la tête.

"Je crois, mes amies, que vous devriez partir voir l'Empereur pour l'avertir de la menace qui plane et pour essayer de récolter des informations. Les Pékans sont nos voisins, il faudra donc essayer de savoir ce qui se passe chez eux afin de se protéger du danger potentiel. Vous savez bien que si le Mal se propage, les Porc Épic et nous serons les premier touchers. Allez vous renseigner pour mieux nous protéger. Hâtez-vous de partir, les filles, c'est ce qu'il y a de mieux à faire."

Dinary leur remis à chacune un paquet d'herbe.

"Faites infuser ces herbes et elle vous fournirons l'énergie nécessaire pour votre voyage."

Sur ces derniers mots, elle tourna les talons et reparti afin de voir à la cérémonie funèbre de la jeune Cybille.